La pianiste ensorcelle la salle avec un rêve d’Amour à la Liszt

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il y a 5 ans

Une sublime histoire érotique à dévorer sans modération

Elle l’avait suffisamment répété à ses élèves et aux journalistes pour savoir le risque qu’elle prenait : « L’œuvre de Franz Liszt est érotique, il faut avoir le cœur enflammé de désir pour transcender son œuvre. Ses « rêves d’amour » ne valent rien s’ils ne sont pas interprétés par une pianiste assoiffée de volupté. C’est la raison pour laquelle Liszt sera toujours plus magnifique interprété par une femme. Le désir masculin n’est pas assez subtil, pas assez profond, il est trop urgent. Le désir qui habite une femme aimée et qui aime est inégalable et seul capable de comprendre l’œuvre de Liszt. »

On l’avait taxée de sexisme à maintes reprises, certains pianistes célèbres ne manquaient pas de lui envoyer des pics avant leur concert quand ils s’apprêtaient à jouer du Liszt, informant leur public qu’ils feraient du mieux possible et s’excusant d’êtres des hommes… Et chaque fois qu’elle-même donnait un concert de ce compositeur dont elle était la grande spécialiste, les critiques s’empressaient d’y courir, espérant machiavéliquement, assister à un raté.

Mais même ses plus grands détracteurs s’inclinaient chaque fois devant son génie implacable. Elle jouait Franz Liszt comme personne et il était impossible de ne pas être bouleversé par ses interprétations exceptionnelles.

Et voilà que dans quelques heures, elle devrait jouer devant une salle comble, venue l’écouter sublimer les « rêves d’amour ». Mais elle ne savait pas comment elle parviendrait à jouer alors que l’amour de sa vie, celui qui avait nourri ce fameux désir dont elle avait si souvent parlé, était mort quelques jours auparavant. Elle se sentait vide sans lui, incapable de ressentir la moindre envie de stupre, le moindre désir.

Elle avait pensé annuler le concert, mais son agent l’avait avertie que ce serait une catastrophe financière si elle renonçait à sa tournée. Le petit château qu’elle avait acheté avec son grand amour était un gouffre financier, et cette tournée devait notamment garantir qu’elle puisse conserver ce lieu qu’ils chérissaient tous les deux. Elle aurait l’impression de trahir sa mémoire si elle devait vendre cette propriété qu’ils aimaient tant à cause du manque d’argent. Elle devait jouer, pour lui.

Elle savait comment tenter de retrouver le désir en jouant. Elle l’avait déjà fait auparavant, avec lui, et elle allait recommencer, pour lui. Il lui faudrait beaucoup de courage, mais en l’imaginant à ses côtés, elle y parviendrait.

Le soir venu, dans l’immense salle de concert, elle fit une entrée triomphale, le public se levant pour l’accueillir avec un tonnerre d’applaudissement. Tout le monde connaissait la tragédie qu’elle traversait, et on saluait son courage dans cette période difficile. Ses admirateurs craignaient qu’elle se remette à jouer trop tôt, ses détracteurs l’attendaient au tournant. Après ses nombreuses sorties médiatiques sur l’incapacité des hommes à jouer correctement, Liszt et bien d’autres, même en deuil, on ne la raterait pas.

Elle s’assit face au superbe piano à queue et prit le temps de s’installer confortablement et d’ajuster sa longue robe. Elle ferma ensuite les yeux pour se concentrer, elle en avait besoin plus que jamais.

Le public était maintenant absolument muet, attendant avec fièvre que les premières notes résonnent. Dans ce silence respectueux, tous l’observaient avec admiration. Pas seulement pour son courage et son talent, mais aussi parce qu’elle était une femme sublime. Son corps élancé était resplendissant dans sa robe qui laissait apparaître son dos sublime sur lequel était tatouée une fleur magnifique.

Et quand elle jouait, son visage s’animait chaque fois d’une grâce unique, d’une beauté surnaturelle. On comprenait alors ce qu’elle entendait par ce désir qu’elle ressentait chaque fois qu’elle jouait. Car derrière un piano encore plus que dans n’importe quelle autre circonstance, elle devenait elle-même désirable à s’en damner. Combien d’hommes et de femmes avaient rêvé de la posséder en la regardant se mouvoir devant son piano… Mais c’était chaque fois pour le même homme qu’elle jouait ainsi, le seul qu’elle désirait. Et il n’était plus là désormais, alors on se demandait comment elle allait jouer.

Personne ne remarqua le petit objet qu’elle avait posé près d’elle, sur son large tabouret. Elle l’effleura du bout des doigts et son corps se raidit légèrement. Elle attendit quelques instants de dompter la sensation puis elle posa les doigts sur le piano. Dans la salle, on retenait sa respiration.

Le petit vibromasseur que lui avait offert son amant il y avait quelques mois était confortablement installé dans son sexe. Il lui suffirait d’imaginer son homme auprès d’elle quand les vibrations courraient dans tout son corps pour que le désir la saisisse à nouveau. C’était là son plan. Rien d’autre qu’une télécommande près d’elle et un vibromasseur dans son intimité.

Le désir serait sans doute un peu artificiel, c’était le risque encouru, mais elle était incapable de jouer sans volupté. Elle avait échafaudé son plan sans penser aux conséquences ou aux inconvénients possibles, comme prise dans une brume nourrie par sa tristesse. Et maintenant que les vibrations vrombissaient en elle, tout lui semblait stupide et dérisoire. Elle avait envie de pleurer, mais il était trop tard.

Les vibrations étaient diffusées en intensité minimale, pour ne pas la perturber, et elle se lança. Les yeux toujours fermés, elle sentait ses doigts s’agiter sur le clavier, mais il n’y avait pas de désir. Juste un léger frisson dans son bassin, insuffisant pour la transporter ailleurs… Heureusement elle n’entendait pas le murmure dans la salle. Elle jouait depuis une minute à peine et déjà on s’interrogeait, on s’émouvait. Elle avait perdu son génie, elle jouait mécaniquement et le désir avait disparu.

C’est alors qu’il y eut un raté. Pas un de ceux que la critique attendait, pas un raté musical ou une fausse note, mais un raté dans les vibrations. Un pic plus intense avait traversé son sexe au milieu du vrombissement continu. Elle avait ouvert les yeux, surprise par ce brusque changement. Puis un nouveau pic avait surgi encore, irradiant son intimité. Elle essayait de garder une constance, concentrée à son morceau pour ne pas déraper.

Puis de nouvelles pointes de vibrations se succédèrent, s’animant de façon irrégulière et faisant monter en elle un plaisir qu’elle n’avait pas prévu. Elle serra les cuisses pour tenter de faire taire ce plaisir, mais cela produisit l’effet inverse. Son sexe se contracta et son bassin se cambra dans un réflexe. Dans la salle, on retint sa respiration. Que se passait-il ? Pourquoi avait-elle bougé ainsi ?

Elle ne pouvait plus reculer, elle n’avait pas d’autre solution que d’accepter les vibrations et de se laisser aller. Elle ne comprenait pas pourquoi son appareil débloquait, mais il était trop tard pour s’en soucier. Elle se détendit et laissa son corps ressentir les sensations pleinement. Et aussitôt, les ondulations dans son intimité entamèrent un nouveau changement. Ce n’était plus des pics de vibration, mais plutôt des vagues enveloppantes, comme si une véritable danse vibratoire s’opérait dans son sexe. Sa culotte était trempée et le fruit de son désir coulait le long de sa cuisse. Ses lèvres intimes étaient grandes ouvertes, comme si elles avaient voulu crier leur plaisir.

L’extase montait en elle dans tout son corps en même temps que la musique inondait maintenant son esprit. Elle était prise dans une espèce de transe et elle n’avait plus conscience de ce qui l’entourait. Et pourtant, des centaines d’yeux étaient rivés sur elle, subjugués par le spectacle auquel ils assistaient, par ce corps qui remuaient sur le tabouret en même temps qu’il leur offrait une interprétation musicale extraordinaire…

Elle avait perdu toute notion du temps. La seule trace infime de conscience qu’elle possédait encore était consacrée à jouer Liszt par cœur, sans fausse note. Elle avait heureusement interprété ses œuvres tant de fois qu’elle n’avait qu’à laisser ses doigts glisser sur le clavier par automatisme. Et le reste de son corps et de son âme était dévoué à faire vivre cette musique par l’intermédiaire de la puissance voluptueuse qui s’était emparée d’elle.

Assise sur son fauteuil de concert, elle continuait de subir avec un plaisir délectable les dérèglements incompréhensibles de son vibromasseur. Parfaitement installé au milieu de son vagin, ce petit œuf vibrant qui lui avait semblé innocent était en train de la transporter vers des sommets d’orgasmes irréels. Il continuait de vrombir dans son sexe et il lui semblait même parfois qu’il gonflait, roulait, remuait, s’agitait en vagues vibrantes exceptionnelles…

Dans le public, on parvenait à peine à respirer. La musique qui échappait de l’immense piano avait envoûté toutes les oreilles. Hypnotisés par la beauté somptueuse des morceaux qui s’enchaînaient et surtout, par le désir violent qui s’emparait de chacun à la vue du corps de la pianiste qui se déhanchait sans pudeur au-dessus du clavier, personne n’avait alors conscience d’assister sans aucun doute à la plus belle interprétation de Liszt jamais offerte.

Elle avait la sensation que les vibrations se propageaient jusque dans ses cuisses et elle écarta les jambes progressivement pour que ces vibrations qui partaient du centre de son corps se propagent encore plus loin dans tout son être. On salivait dans la salle à la vue de ces jambes qui semblaient vouloir s’échapper de leur robe. Elle avait tellement écarté les cuisses que sa culotte était maintenant totalement à l’air libre. Seulement, personne ne pouvait la voir puisque la pianiste jouait de profil. On devinait l’exhibitionnisme, mais on ne pouvait profiter de la vue, ce qui rendait la sensation encore plus excitante.

Sa culotte de dentelle noire était maintenant tellement trempée de plaisir que le maigre tissu s’était enroulé au fur et à mesure de ses gesticulations. Elle sentait que l’une de ses lèvres s’était échappée et la petite caresse d’air frais sur ce bout d’intimité fit monter encore davantage son désir.

Le public sentit ce regain dans l’éclat encore plus sublime des notes qui s’entremêlaient avec une vérité unique. On ne savait plus si l’on perdait la tête à cause de la musique ou de la splendeur érotique de cette femme qui avait l’air de faire l’amour devant son piano. La tétanie délicieuse avait fait perdre toute notion de bienséance et on commençait dans la salle aussi à remuer sur son siège.

Certaines femmes aux jupes courtes écartaient exagérément leurs cuisses et les genoux des voisins ainsi touchés avaient provoqué des réactions. En quelques minutes, plusieurs mains baladeuses s’étaient aventurées sous des culottes en demande. Et comme les pénis durcissaient, certains s’échappèrent discrètement des pantalons pour voir cesser l’insupportable pression. De la même façon, les voisins et voisines trouvèrent tout naturel de les saisir et les caresser pour soulager l’excitation trop douloureuse. Jamais, dans un concert de musique classique, on avait assisté à pareille débauche. Et pourtant, personne dans la salle ne s’en offusquait. Dans l’atmosphère de volupté mystique qui s’était emparée de tous, ces gestes de stupre semblaient naturels.

On approchait la fin du concert et certains faisaient maintenant l’amour sur leur siège ou dans les allées. On apercevait ainsi des femmes de la haute bourgeoisie chevauchant des hommes qu’elles ne connaissaient pas une heure plus tôt, aux yeux de tous, les yeux fermés par le plaisir, et les seins exhibés gonflés par le désir. Et dans cette atmosphère étrange de stupre absolue, les couples qui s’adonnaient ainsi au plaisir autant que ceux qui jouissaient de caresses solitaires n’émettaient pas le moindre bruit. Aucun murmure, aucun cri de jouissance, pour ne pas rater une miette de la musique ensorcelante qui nourrissait leur désir. On remuait même les corps doucement pour éviter le son des frottements…

La célèbre pianiste continuait de jouer en sous-vêtement, sa robe s’étant déchirée au fil de ses déhanchements toujours plus violents, et elle dévoilait ainsi son corps sublime et rougi par le plaisir. Elle avait la sensation que l’œuf vibrant en elle était devenu totalement flexible et qu’il s’allongeait et s’épaississait au fur et à mesure qu’elle jouait. Elle n’en pouvait plus de tout ce désir solitaire, elle aurait voulu que son mari soit là, à ses côtés, qu’il lui fasse l’amour, qu’il la prenne avec toute l’énergie de leur amour.

Et tandis qu’elle pensait à lui, au fait qu’elle ne le reverrait jamais, elle commençait à jouer le morceau le plus triste de tout le répertoire de Liszt. La romance S.169, « O pourquoi donc ». Et les couples lentement se défirent, subjugués par la tristesse soudaine. Et tout le monde pleura. Sans un bruit, sans un reniflement ou un sanglot bruyant, la salle entière était en larme à moitié nue.

Quand elle eut fini tout le répertoire, elle resta longuement plantée devant son piano, en sueur. Tous les regards étaient rivés sur elle, certains étaient debout dans les allées, d’autre assis par terre, tous débraillés, des seins et des pénis encore sortis de leurs habits en tous les coins.

Puis elle se leva et se plaça face à la salle. Son soutien gorge noir défait avait libéré une de ses poitrines magnifiques et sa culotte trempée de sueur et d’excitation était roulée et pliée de toute part si bien qu’elle ne cachait presque rien de ce sexe totalement imberbe. Ce corps fin, suant, rouge, secoué par la respiration haletante de l’effort accompli était d’une splendeur incroyable. Le maquillage avait coulé sur son visage, du noir sous les yeux, du rouge qui débordait de ses lèvres… Nul n’avait jamais vu pareille perfection.

Elle sortit de scène sans aucun applaudissement et chacun se rhabilla en silence. Ce qu’ils avaient vécu, ce qu’elle leur avait donné ce soir… des applaudissements apparaissaient tellement dérisoires. Le silence était le seul hommage possible pour exprimer ce qu’ils ressentaient. Très lentement, le public sortit de la salle, chamboulé par ce concert unique.

Dans sa loge, la pianiste saisit une photo de son homme qu’elle avait scotché sur le miroir. Elle l’embrassa. Puis une boite attira son regard au milieu des tubes de maquillage. Elle l’ouvrit. C’était son vibromasseur et sa télécommande. Elle fronça les sourcils… Si elle avait oublié d’emporter le sextoy avec elle sur scène, d’où était venu ce festival de vibrations ? Elle ne remarqua pas que sur la photo, son mari affichait un sourire étrange…

Ema

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